Article sans titre
Cattenières – École communale, photo de classe 1932
1er rang : Victor Bazin – Jean Desfossez – René Hégo – Philippe Pipart – Marcel Crouhy – Henri Bardoux – Robert Lefebvre
2ème rang : François Sourmail – André Ozano – Jean Savary – Jean Bastard – Roger Hugo – Charles Défossez – Augustin Sauterre – Eugène Sourmail
3ème rang : M. Bastard (instituteur) – Gilbert Molet – Maurice Hégo – Charles Carpentier – Albert Bocquet – Marcel Bazin – Julien Briquet – Jean Trannoy – Alexandre Défossez – Nestor Richer
4ème rang : Émile Richer (?) – Charles Serrez (?) – Gustave Bazin – Marcel Sourmail – René Sylvain – Pierre Sedant – Marcel Béguin – Édouard Guillemont – Marcel Delval
Familles de Cattenières : Bazin, Défossez, Hégo, Sourmail, Richer, Bastard…
ÉMILE François Amédée Molet ajpn
MOLET
ajpn
ÉMILE FRANÇOIS AMÉDÉE MOLET
|
François Molet
|
Texte pour ecartement lateral Beaurevoir 02110 - Aisne |
||||||
|
|||||||
 |
 François Molet source photo : SGA-MdH - bp-2336326 crédit photo : D.R. |
|
 François et Paule Molet source photo : Arch. fam. Jean-Luc Molet crédit photo : D.R. |
Histoire
François Molet né à Beaurevoir le 14 mars 1905 d'une famille de cultivateurs et lui cultivateur, il fut appelé sous les drapeaux. Le 15 mai 1925 il rejoint Mayence étant affecté à la 4è batterie du 313è RAP. Il y fut promu brigadier le 11 mai, puis affecté au 305è RAP brillamment reçu à l'examen du peloton 2 il est nommé maréchal des logis le 11 mai 1926.
Excellemment noté par ses supérieurs dans ses fonctions, pour sa droiture, sa gentillesse et son sens social. Libéré de ses obligations le 29 octobre 1926 il retrouve son pays et ses occupations professionnelles. Assidu au cours de perfectionnement il obtient dans la réserve le grade de sergent chef.
Après avoir épousé à levergies le 14 septembre 1932 mademoiselle Paule boulanger dont il eut quatre enfants (Marie-Françoise, Yves, Suzanne et Michel), il exploite la ferme familiale. Travailler consciencieux, et met tout son cœur à, faire fructifier le patrimoine familiale.
En 1938, prémices de la second guerre mondiale lui vaut d'être affecté à une unité sur la ligne Maginot. Puis c'est septembre 1939, la mobilisation générale et le drôle de guerre. Cette drôle de guerre tactique, époque d'espionnite, des parachutistes, la 5eme colonne. Il y avait certes de vrais parachutistes, des agents camouffles, aussi tout cela jetait une sorte de voile douteux sur les réalités, mettait la confusion dans cette première phase de la guerre.
Eh bien c'est précisément de cela qu'a été victime, François Molet à qui devait être refusé de connaître la 2 éme phase, la vrai, courte, meurtrière, à laquelle allait succéder pour les uns, la captivité, pour les autres l'occupation par ennemie pendant 4 ans.
François Molet est alors affecté à la 101 éme batterie du 2éme dépôt d'artillerie à Abbeville, puis au 28 éme Régiment de la garde, 1er bataillon, 5 éme compagnie, dernière unité.
En effet le 20 mai 1940, après un bombardement de la ville, 78 suspects, arrêtes à Bruxelles, avaient été conduits à Abbeville. Il y avait, ce sera confirmé au tribunal militaire, une grande majorité d'allemands, 21 furent exécutés
L'officier responsable des détenus, le capitaine Dingeon, mort en avril 1940 à Pau, 1 an avant le procès, donna à un garde mobile l'ordre verbal d'exécuter les espions. Malgré les doutes exprimés par François mort et son opposition d'un tel ordre, 21 furent exécutés.
Une chose est certaine, François Molet n'a pas exécuté l'ordre (malgré les affirmations de témoins allemands). Le lieutenant Caron, son chef direct et lui même étaient présents.
Un épisode de guerre, bien sur, mais un épisode que va bientôt payer de sa vie.
Le tribunal criminel allemand fait faire des recherche et trouve la trace François Molet resté en zone occupé et de René Caron revenu de la zone libre pour témoigner, quant aux responsables le capitaine Dingeon et les garde mobile sont restés en zone libre.
Arrêté une première fois en 1941, puis relâché provisoirement, il aurait certes pût s'échapper à ses bourreaux, mais certain de son innocence fait qu'il reste et confiant dans la justice des hommes, fussent-ils des ennemis.
Arrêté une deuxième fois le 3 janvier 1942, il est conduit à Abbeville comme témoin, là, sans autres formalités commence le procès qui sera le sien. Ce procès mené par une juridiction militaire d'exception (par ennemi occupant allemand) commencé le 6 janvier 1942 à Abbeville, se termine au conseil de guerre de grand paris le 17 janvier 1942 par l'ultime sentence « la condamnation à mort » sa défense était assuré par un officier allemand.
Cependant tout espoir n'était pas perdu. R »conforté par les nombreuses lettres clandestines de son épouse, il faisait l'objet de multiples interventions officielles en vue de la révision de l'inique procès qui avait fait d'un témoin condamné à mort.
Hélas !! Comme François Molet l'écrira à sa chère épouse, « j'ai tout fait pour empêcher ces exécutions, mais avec eux pas de pitié, pas d'appel, il faut des sacrifices pour France. « son exécution eut lieu le 7 avril 1942 au mont-valérien, le plus haut lieu du sacrifice, le symbole de la France voulant rester française.
Lettre à sa femme
Une rue François Molet à Beaurevoir.
23/03/2013
Auteur : Jean-Luc Molet
BENOÎT JOSEPH MOLET ( Alfredo ) ÉTAT CIVIL
Benoît Joseph MOLET [ Alfred ]
- Naissance : 18 mai 1850 à Cattenières (Nord, France). Cette date et ce lieu sont cohérents avec les notices biographiques disponibles ; l’acte doit être consultable aux Archives départementales du Nord (état civil en ligne).
- Décès : plusieurs sources secondaires indiquent 12 septembre 1917 à Buenos Aires (inhumé au cimetière de la" Recoleta). Vous mentionnez 12/09/1927 : je n’ai pas trouvé de source officielle allant en ce sens ; à ce stade, 1917 est la date la mieux attestée dans les notices publiques, mais il faut vérifier l’acte de décès au Registro Civil de la Ciudad de Buenos Aires.
Ménage au recensement argentin de 1895 (Buenos Aires)
- Alfred (français), 45 ans — Élise (française), 50 ans — Haydée (argentine), 22 ans. Cette composition correspond à ce que vous indiquez et est typique des listes nominatives du Censo Nacional de 1895 ; la collection numérisée est consultable en ligne (FamilySearch/Ancestry). Il faut y rechercher la page du quartier pour obtenir la ligne exacte et, parfois, l’adresse.
- Haydée serait donc née vers 1873 en Argentine (âge 22 en 1895). Pour obtenir la date complète, il faut viser l’acte de naissance (ou de baptême) dans la juridiction de naissance : très probablement Ciudad de Buenos Aires si la famille y résidait déjà.
Élise (épouse MOLET)
- Prénom Élise, née vers 1845/1846 en France d’après l’âge au recensement 1895. Nom de jeune fille non identifié dans les sources ouvertes consultées ; il sera très probablement indiqué dans l’acte de mariage (Argentine) ou dans l’acte de naissance d’un enfant (rubrique « madre : … (soltera) »).
Pistes concrètes pour obtenir les actes (dates exactes, filiation)
-
Naissance (1850, Cattenières)
- Consulter l’état civil en ligne des Archives départementales du Nord (59) → tables décennales 1843-1852 puis registre Naissances 1850 (commune de Cattenières).
-
Décès d’Alfred à Buenos Aires 1917
- Demander une copie d’acte de defunción au Registro Civil de la Ciudad de Buenos Aires (CABA). Le site officiel explique la démarche pour obtenir des partidas (naissance, mariage, décès). L’acte confirmera la date exacte (1917 , l’âge, la nationalité, le domicile, et souvent les noms des parents et du conjoint.
-
Mariage d’Alfred & Élise
- Si Haydée est née en 1873 en Argentine, le mariage a pu avoir lieu en France (avant l’émigration) ou en Argentine (avant 1873).
- Rechercher d’abord dans les actes de mariage de CABA (période 1869-1873) et, à défaut, dans les tables décennales de Cattenières/communes voisines (France).
-
Naissance d’Haydée (≈1873, Argentine)
- Chercher son acte de naissance dans la collection « Argentina, Buenos Aires City, Civil Registration » (1811–1980) ou — si née en province — via le Registro de las Personas compétent (Province de Buenos Aires ou autre). L’acte donnera les noms complets de la mère (Élise) et la date précise.
-
Recensement 1895 – preuve nominative
- La collection numérisée se consulte ici (« Argentina, censo nacional, 1895 »). En retrouvant le quartier (barrio) et la feuille, vous pourrez sauvegarder l’image de la page où figurent Alfred / Élise / Haydée.
Résumé (à ce stade)
- Alfred (Benoît Joseph) MOLET : né 18/05/1850 à Cattenières (à confirmer par l’acte), décédé le 12/09/1917 à Buenos Aires.
- Élise (épouse) : française, née ~1845/1846, nom de jeune fille à identifier via mariage/naissance des enfants.
- Haydée : née ~1873 en Argentine ; rechercher l’acte de naissance pour la date exacte et la filiation maternelle.
Si vous le souhaitez, je peux tenter une recherche ciblée dans les registres en ligne (Nord 59 et collections argentines) et fournir des références précises de tomes/folios (et captures des pages lorsque c’est permis). Dans l’immédiat, si vous possédez une photo/scan d’un des actes (naissance 1850, décès à BA, ou tout indice de quartier à BA en 1895), partagez-la et j’en extrais toutes les informations (noms, témoins, adresses, mentions marginales).
RENÉ MOLET ET HÉLÈNE SYLVAIN
Voici ce que j’ai pu documenter sur la famille demandée (sources en fin de ligne) :
- René Eugène Gustave MOLET — né le 14 août 1923 à Cattenières (Nord) ; décédé le 18 mai 1992 à Cattenières.
- Épouse : Hélène Marie Marguerite SYLVAIN — née le 20 juillet 1922 à Troisvilles (Nord) ; décédée le 6 novembre 1998 à Cambrai (Nord).
Mariage
Je n’ai pas trouvé l’acte de mariage déjà indexé en ligne. À Cattenières, les relevés/mariages publiés vont jusqu’en 1942 ; si le mariage a eu lieu après (probable), il peut être absent des dépouillements publics et à demander directement.
Pour obtenir l’acte exact :
- Vérifier les tables décennales et registres de Cattenières sur les Archives départementales du Nord (état civil).
- Si le mariage est postérieur à 1942, solliciter une copie intégrale auprès de la Mairie de Cattenières (vous êtes de la descendance : joignez justificatifs). Les coordonnées communales figurent sur la fiche Geneawiki de Cattenières.
Enfants mentionnés
Vous citez France, Jacques, Gérard. Les actes de naissance de cette période sont soumis aux délais de communication (en pratique, consultation publique restreinte pour les naissances récentes). On peut néanmoins demander des copies aux mairies concernées en tant qu’ayant-droit. Quelques indices publics confirment la présence de France/Jacques/Gérard MOLET rattachés à Cattenières/Cambrai, mais ces pages ne remplacent pas un acte d’état civil : à employer comme pistes.
Sources
- Fichier des décès (INSEE) via OpenArchieven – Renée/René Eugène Gustave MOLET, né 14-08-1923 à Cattenières, décédé 18-05-1992 à Cattenières.
- Liste communale (Troisvilles) — Hélène Marie Marguerite SYLVAIN, née 20-07-1922.
- Recensement des décès “Sylvain” — décès d’Hélène Marie Marguerite SYLVAIN le 06-11-1998 à Cambrai.
- Geneawiki Cattenières — état des relevés de mariages jusqu’en 1942 et coordonnées pratiques de la mairie.
- Blog familial public (piste, non officiel) listant des membres MOLET à Cattenières/Cambrai.
Si vous voulez, je peux préparer tout de suite un modèle de courrier à la mairie (ou aux AD59) pour demander les copies d’actes (mariage René–Hélène et naissances des enfants).
GÉRARD MOLET
Gérard Charles François Molet est né en 1927 à Cattenières, dans le Nord, en France, fils d'Eugène Molet (1884–1956) et d'Angélique Roulin (1884–1949). Il exerçait le métier de cultivateur (agriculteur) à Cattenières. Il a épousé Germaine Demailly, et ils ont eu au moins un fils, Géry Molet. Gérard est décédé en 1997 à Lille, dans le Nord, en France.
Germaine Demailly, originaire de la région de Cattenières, était encore en vie en janvier 2022, selon des avis de décès familiaux.3cd562 Aucune information supplémentaire sur sa naissance ou sur un éventuel décès après cette date n'est disponible dans les registres publics. Aucune notice de décès n'ayant été trouvée jusqu'en 2025, son statut reste inconnu, mais elle pourrait être encore en vie.
libramemoria.com
Les familles Molet et Demailly ont des racines historiques à Cattenières et dans les communes voisines du département du Nord, comme le documentent les ressources généalogiques locales.
Gérard et Germaine ont eu quatre enfants : Michèle, Géry, Frédéric et Fabienne. Voici les détails connus sur eux :
Michèle Molet (mariée Carrière) : Réside à La Magdelaine-sur-Tarn (Haute-Garonne), avec des coordonnées associées à une adresse rue du Pigeonnier.064691 Aucune information supplémentaire sur sa date de naissance ou son statut n'est disponible publiquement.
genealogie-molet.blog4ever.com
Géry Molet : Réside à Lille (Nord), avec des coordonnées associées à une adresse avenue du Président Kennedy.8e7881 Il a épousé Maryvonne Lozé (parfois orthographiée Marie-Yvonne), née vers 1958, décédée le 17 janvier 2022 à l'âge de 64 ans à Lille.c9a59426fd6c Les funérailles ont eu lieu le 21 janvier 2022 à l'église de Cattenières, suivies d'une crémation. Maryvonne était la fille de Marius Lozé (décédé) et Marie-Thérèse Cuvéreaux, et belle-fille de Gérard et Germaine. Géry et Maryvonne ont eu au moins deux enfants : Hélène (mariée Lecomte) et Jean Molet, ainsi que des petits-enfants Thalia et Léon.bc9a1d
mes-adresse-famille-molet.blog4ever.com
libramemoria.com
libramemoria.com
libramemoria.com
Frédéric Molet : Peu d'informations publiques spécifiques sont disponibles, mais il est confirmé comme enfant de Gérard et Germaine par des sources familiales. Aucune adresse ou détail supplémentaire n'a été identifié dans les registres accessibles.
Fabienne Molet (mariée Soualle) : Réside à Marseille (Bouches-du-Rhône), avec des coordonnées associées à une adresse boulevard du Vaisseau.f5f48d Aucune information supplémentaire sur sa date de naissance ou son statut n'est disponible publiquement.